La première série est surnommée « Lowbody », en raison de sa garde au sol remarquablement basse. Elle est équipée de jantes Campagnolo Bravo et de rétroviseurs « obus ». Un aileron Dallara était disponible chez le concessionnaire sans être homologué. Le moteur développe environ 400 ch. Seulement 50 exemplaires produits, il s’agit du graal, dont la côte dépasse le million d’euros. 2 exemplaires seulement possèdent le rétroviseur sur le toit de la LP400.
La seconde série dispose toujours de la carrosserie « Lowbody » mais se distingue par des jantes inspirées des « Bravo », plus épurées cette fois. Les rétroviseurs sont plus larges. Le rétroviseur périscope disparaît définitivement. L’aileron est toujours disponible et évolue durant l’année 1980 avec l’apparition de volets latéraux. L’instrumentation Warner est remplacée par une Jaeger, imposant une plus grande planche de bord. Le moteur développe désormais 375 ch. à 8 000 trs/min. 105 exemplaires seront construits.
L’ingénieur Alfieri augmente la garde au sol de la troisème série suite à l’adoption du spoiler avant. La Countach était devenue presque inutilisable. Aussi, la garde au toit augmente de 30mm favorisant l’ergonomie de l’habitacle et le confort. Précédemment, les Lowbody imposaient une taille maximum d’environ 1m75. L’ingénieur Stanzani, alors assis dans une Countach dit « les clients venaient et disaient – ce n’est pas assez haut, ma tête touche le toit. – Bob Wallace répliquait, – Qu’est-ce que vous racontez ? Il y a plein de place » en glissant en bas du siège avec le sourire. Sur le plan mécanique, la puissance est revue en raison des normes de pollution. Le V12 Giotto Bizzarrini permet 353 ch. à 8 000 trs/min. Extérieurement, de nouveaux rétroviseurs Vitaloni Turbo plus esthétiques remplacent ceux de la série II. 82 exemplaires seront construits.
Straderial présente à la vente cette exceptionnelle Lamborghini Countach LP400S de 1982 dans sa teinte Rame Colorado Metallizzato d’origine. Mise en lumière par ses couleurs, cet exemplaire brille aussi par son état de conservation remarquable.
Sa carrosserie luminescente entre en fusion avec les jantes Campagnolo en magnésium de couleur dorée. Le résultat est splendide et parfaitement en accord avec la philosophie voulue par Marcello Gandini. L’intérieur bi-ton apporte une touche d’élégance et d’originalité certaine quant au choix d’association de cuir et d’alcantara. L’habitacle en contraste se marie parfaitement avec la robe.
Acquise par un collectionneur avisé en janvier 2002, l’historique des différentes mains françaises est connu depuis l’arrivée de l’auto sur le territoire en 1986. Précédemment, cette Countach avait été livrée en Italie le 7 septembre 1982.
Trente-huit années après ses premiers tours de roue, cette 400S est en très bon état. Pour conserver cette condition, le propriétaire a volontairement choisi de ne pas repeindre le châssis qui dévoile une transparence parfaite du passé. Seul l’asphalte et le temps ont patiné cet objet d’histoire, sans aucun accident structurel durant ces quatre décennies. Les trains roulants n’ont eux aussi jamais été restaurés et sont en bon état général. Des travaux ont été réalisés sur le plan mécanique. Dernièrement, un passage en atelier a été effectué afin de contrôler et de remplacer certaines pièces (la liste des travaux effectués sera communiquée).
Ayant parcourue 37 280 km, la mécanique alimentée par les six carburateurs Weber double-corps rugit sur les ponts de Paris. Le comportement routier est très sain et aucune anomalie n’a été décelée. La plupart des organes sont d’origine. La sellerie avait été refaite par le passé dans sa couleur primitive.
La ville lumière a assisté à un spectacle hors normes, comme si Lamborghini lui avait rendu hommage. Les couleurs or et cuivre mettent en scène un spectacle unique. Cette Countach trouvera sa place où qu’elle se trouve, tant son aura est intense. Le prochain propriétaire aura la chance de piloter et de contempler une sculpture automobile, déjà légendaire et d’autant plus spectaculaire dans cette configuration.
Il s’agirait du dernier exemplaire de la série construit à l’usine de Sant’Agata Bolognese. D’après nos recherches, seules neuf unités sur les séries 400 ont été réalisées dans cette teinte. Cinq seulement sont aujourd’hui répertoriés.
Notre équipe se tient à votre disposition et vous assistera pour remettre cette automobile exceptionnelle dans les conditions désirées. La livraison sur l’ensemble du globe est possible. Cet exemplaire est en carte grise française, prêt à être cédé à un nouveau collectionneur inspiré.
* N. B. Lorsque les photos ont été réalisées, certains détails de finition étaient en cours de restauration. Les feux arrière avaient été remontés de manière provisoire, le lettrage n’était pas encore posé, les centres de roues d’origine étaient démontés, d’autres centres provisoires avaient été installés, la visserie de la platine de la boite de vitesse était provisoirement remplacée…
L’ensemble de ces opérations est soigneusement organisé et le prochain propriétaire bénéficiera d’une sensationnelle Lamborghini Countach, remarquée par plusieurs spécialistes connus.
The first series is nicknamed « Lowbody », due to its remarkably low ground clearance. It is fitted with Campagnolo Bravo rims and “shell” mirrors. A Dallara fin was available at the dealership without being certified. The engine develops around 400 hp. Only 50 model produced, it is the grail, whose cost exceeds one million euros. Only 2 units have the mirror on the roof of the LP400.
The second series still has the “Lowbody” bodywork but is distinguished by rims inspired by the “Bravo”, more refined this time. The mirrors are wider. The periscope mirror disappears permanently. The fin is still available and evolves during the year 1980 with the appearance of side flaps. The Warner instrumentation is replaced by a Jaeger, imposing a larger dashboard. The engine now develops 375 hp. at 8,000 rpm. 105 units will be built.
The engineer Alfieri increases the ground clearance of the third series following the adoption of the front spoiler. The Countach had become almost unusable. Also, the headroom increases by 30mm, promoting cabin ergonomics and comfort. Previously, the Lowbodies imposed a maximum height of around 1m75. Engineer Stanzani, then seated in a Countach, said, « The customers were coming and saying – it’s not high enough, my head is touching the roof. – Bob Wallace replied, – What are you talking about? There’s plenty of room, ”sliding down the seat with a smile. Mechanically, the power is revised due to pollution standards. The V12 Giotto Bizzarrini provides 353 hp. at 8,000 rpm. Externally, new, more attractive Vitaloni Turbo mirrors replace those of the Series II. 82 units will be built.
Straderial is presenting this exceptional Lamborghini Countach LP400S from 1982 in its original Colorado Metallizzato Rame color for sale. Highlighted by its colors, this model also shines with its remarkable state of conservation.
Its luminescent body merges with Campagnolo rims in golden magnesium. The result is splendid and perfectly in line with the philosophy wanted by Marcello Gandini. The two-tone interior brings a touch of elegance and unmistakable originality to the choice of combination of leather and Alcantara. The contrasting interior goes perfectly with the dress.
Acquired by a knowledgeable collector in January 2002, the history of the different French hands has been known since the car arrived in the country in 1986. Previously, this Countach had been delivered to Italy on September 7, 1982.
Thirty-eight years after its first laps, this 400S is in very good condition. To keep this condition, the owner has voluntarily chosen not to repaint the chassis, which reveals perfect transparency from the past. Only asphalt and time have skated this historic object, without any structural accident during these four decades. The running gear has also never been restored and is in good condition. Mechanical work has been carried out. Recently, a visit to the workshop was made in order to check and replace certain parts (the list of work carried out will be communicated).
Having traveled 37,280 km, the mechanics powered by the six Weber double-barrel carburetors roared on the bridges of Paris. The road behavior is very healthy and no anomalies have been detected. Most of the organs are original. The upholstery had been redone in the past in its primitive color.
The City of Lights attended an extraordinary show, as if Lamborghini had paid tribute to it. The gold and copper colors stage a unique spectacle. This Countach will find its place wherever it is, so intense is its aura. The next owner will have the chance to drive and contemplate an already legendary and even more spectacular car sculpture in this configuration.
It would be the last of the series built at the Sant’Agata Bolognese factory. According to our research, only nine units on the 400 series have been produced in this shade. Only five are listed today.
Our team is at your disposal and will assist you to deliver this exceptional automobile to the desired conditions. Worldwide delivery is possible. This Countach is in French registration title, ready to be sold to a new inspired collector.
* N. B. When the photos were taken, some finishing details were being restored. The rear lights were provisionally reassembled, the lettering was not yet installed, the original wheel centers were disassembled, other temporary centers were installed, the hardware of the gearbox plate was provisionally replaced…
All of these operations are carefully organized and the next owner will benefit from a sensational Lamborghini Countach, noticed by several well-known specialists.
Tel : +33 6.86.17.07.51
Mail : drive@straderial.com
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